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La tau est sans aucun doute le identité gothique le plus utilisé dans l’histoire de l’humanité. Elle est aussi bien présente dans le Christianisme que dans certaines organisations surnaturels. Sa présence en un endroit traduit la véracité d’un espace caché, d’une église, d’une cathédrale… On peut également la acheter à l’entrée des cimetières, sur les tombeaux de nos disparus ou sur le visage des personnes qui en on réalise un signe de beauté. Bien que sa signification dans le Église se réfère à la crucifixion de Jésus Christ, ce personnalisation n’a été decrit dans le catholicisme que trois millénaires après sa mort. Rappelons avant de continuer que la crucifix ne nait pas avec le Église encore moins avec la mort de Jésus Christ.

Depuis la nuit des temps, le mec s’est orienté selon le soleil ou les étoiles de la ciel. Le jour, l’être se aperçoit bien entendu par rapport aux rayons du soleil. La verticale du lieu d’analyse s’élève jusqu’au apogée et l’astre à son apogée projette une contour suite sur l’horizon vers du mi-journée. L’observateur peut de ce fait se repérer en fonction des 4 gérance associées aux lieux cardinaux. Elles dessinent avec la verticale du lieu une tau à plusieurs proportions en relation avec l’orientation solaire.

Souvent connu sous le nom de croix, la calvaire latine donne la crucifixion du Christ. Historiquement, il faut croire que ce type de crucifix protestant soit fondement du coupe-chou, un identité d’origine païenne. Dans plusieurs pays de l’univers ( concrètement en Asie ), la crucifix romaine est vue comme un modèle de incontournable animiste remontant de l’ère préchrétienne. Avant que le Christianisme n’en transforme le empreinte identitaire gri-gri fidèle que nous aujourd’hui, elle aurait pu personnifier quelqu’un ou quelque chose comme les 4 endroits cardinaux, le lien entre l’horizontalité de notre tend et la verticalité du monde aérien, la fertilité, etc. C’est donc exactement lors de la crucifixion de Jésus de Nazareth que la tau romaine pris un récent sens pour être le empreinte identitaire de l’amour et de l’altruisme du Christ, et de sa amour dos le peuple des hommes. L’adoration de la tau orthodoxe s’est donc non seulement commune par leur région de l’europe, mais a également affecté de manière spectaculaire l’Afrique et les australie. Au XVe siècle, il fut de plus en plus il est compliqué pour un grand nombre de Africains réduits en captivité de préserver leurs cultures et leurs croyances lorsqu’ils entraient sur le Nouveau Monde.

Le pape François remet au cœur de notre foi la cible de l’être humain, soit celle d’entrer dans la «mystique du vivre ensemble», véritable destination de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens de marquer un tournant, dans l’écoute, la comprehansion, l’accompagnement. Nous devons écumer les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins nécessité de croix que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la véritable foi» habités de la présence de l’amour divines. Voilà le bon sens qu’est commencement fournir la Croix !

La crucifix huguenote ou protestant. Composée d’une crucifix de Malte, les ( parmi 4, comme les Evangiles ) sont associées entre elles par un explication arrondie qui, d’un côté, rappelle la affliction du Christ crucifié et qui, en revanche, forme entre chaque sphère un coeur, en même temps identité de la vie de Jésus pour nous et appel de son droit vous appâte les uns les autres ( Jean XIII, 34 ). Les pointes aux extrémité de chaque sphère sont arrondies en forme de jeu de boules et au nombre de huit comme les béatitudes. En bas, la pigeon en pendentif génère évidemment le Saint-Esprit qui descend du macrocosme sur les fidèles.

L’agneau est très mystique : – Dans l’Ancien Testament il représente le sacrifice demandé par Dieu à Abraham, pour celui de son fils. – Dans le Nouveau Testament l’agneau est le symbole du Christ, nommé Agnus Dei dans l’Evangile de Jean. Il symbolise la pureté, la superstition, l’innocence et la justice. Jésus est le messie, l’agneau attendu, qui mené le animal des brebis de Dieu. enfin, fils de marie s’offre en gambits pour la libération et le salut de l’homme, prenant donc la place de l’agneau sur l’autel qu’est sa crucifix. – Dans l’Apocalypse, environ 40 fois l’appellation pré-salé désigne le crucifié.

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